Un avis avisé, a visé à me visser sur mon canapé, cet avis avisé a vicié ma liberté! 

En imposant la visière, il vise hier, ce que je porte dans mes viscères, la vie à l’air pur, faite de montagnes, de forêts et d’îles aux trésors ! 

Iles bordées d’océans, aux séants posés sur le sable.

Si ces avis avisés me vissèrent chez moi, en serrant la visse, je ne suis pas toujours de cet avis là (comme l’aurait dit Therese) cet avis sert à rien si mon équilibre psychologique dévisse! Le remède ne doit pas être pire que le mal, en m’enfermant dans une mâle aux poignées d’or, m’entraînant dans les viscères de la terre. 

Il est temps je l’entends en tant qu’être humain que je puisse reprendre ma vie en main et non en vain! Il n’est pas juste de nous prendre pour des cons finement incapables de maîtriser des gestes barrières (sacré Alain plus célèbre après sa mort !). Je sais avoir conscience de la distance et rester responsable. Je ne sortirais pas masqué la nuit, mais au grand jour, en protégeant mes prochains, proches l’un de l’autre et si loin quand même.

Il faut à présent vivre au présent en oubliant, sans occulter ce qui c’est passé, dans un passé qui ne doit pas revenir dans le futur! 

Ah ça ira ça ira ça ira…le confinement à la lanterne ?