Nous savons que les taux d’intérêts bas en matière de crédit immobilier ont permis aux particuliers d’accéder plus facilement à la propriété. C’est également cet accroissement de la demande qui a produit l’augmentation des prix dans les principales villes de France, puis un report et un attrait pour les villes dites de second marché immobilier. Ce phénomène inquiète les pouvoirs public ainsi que les économistes qui craignent une catastrophe bancaire si l’on maintien un tel niveau d’ouverture au crédit immobilier. Taux bas et allongement de la durée de crédit pourraient avoir des effets néfastes sur l’équilibre financier des banques.